Collection Folle Du Cul. Maryse, La Femme. Ricardo L’Italien (1/1)

Mon amant italien, j'avais 17 ans 1/2 et lui 42, en vacances à Cannes, je l'ai rencontré le premier soir de mes vacances.
Au début, vu mon âge il était timide.
En plus, j'étais avec ma mère qui était son aînée d'un an et je voyais qu’elle avait des vues sur lui.
Moi aussi, dès que je l'ai vu, j'ai flashé sur lui.
J'ai fait en sorte qu'il me remarque, on a discuté au bar, lorsqu'il y a eu des slows, c'est moi qui lui ai demandé de me faire danser.
Rapidement, j’ai senti sa queue se durcir, je commençais à avoir de l’expérience et c’était bon signe.
On s'est embrassé rapidement, il a eu un nouveau moment d’hésitation m’avouant plus tard qu’il se demandait si j'étais une minette qui allumait un " vieux" ou une jeune femme adulte sexuellement.
Plus tard dans la soirée, il m'a expliquée qu'il était à l'hôtel pendant ses vacances et timidement m'a proposé si je voulais y aller avec lui.
C'était parti, ça a duré toutes les vacances.
Cette première nuit, dès le seuil de la chambre franchie, il m’a prise dans ses bras, a recommencé à m’embrasser.
À son âge, Ricardo beau gosse comme il était, son expérience était grande.
Il m'a déshabillée et a commencé à me caresser.
J’étais dégoulinante de cyprine et d’envie d’être prise comme la chienne que je devenais au fils des jours qui défilaient depuis mon dépucelage par Claudio, l’être aimé.
On peut se demander si mon comportement pendant ces vacances était en phase avec l’amour que j’avais pour lui.
Mais force est de constater qu’au fil de ma vie, les queues de tout âge m’ont toujours attirée, surtout qu’il aimait que je lui raconte mes aventures.
Il était beau et fort mon étranger et me soulevant au-dessus de lui, m'a fait directement un cunni qui m'a fait jouir rapidement une première fois.
Avoir une grande jouissance à deux mètres du sol, c’était une première fois pour moi.
Tout homme a un moment où sa force l’abandonne, ce fut le cas pour mon bel italien, mais c’est sur le lit qu’il m’a déposée.

Mon abricot blond dégoulinait de cyprine tachant même le couvre-lit.
Puis il s'est mis sur moi et m'a rapidement pénétrée.
Il m’avait demandé si j’étais vierge lorsque nous dansions.
Jusqu’à un certain âge, cette question me fut souvent posée, j’ai constaté que beaucoup d’entre eux avaient des scrupules pour nous faire cette première fois.
Comme je l’ai dit depuis la première fois, j’ai eu des hommes certainement plus que de raison pour une femme fidèle que j’ai toujours évité d’être.
J’ai fréquemment rencontré des hommes que mon sang excitait alors que pour d’autres ça les rebutait.
Combien de draps, ai-je tachés, même dans des lits conjugaux.
J’avais bien choisi, car je choisis toujours.
Seule les putes où les marie couche-toi là se font baiser sans discernement.
J’ai toujours trouvé quelque chose à tout homme que j’ai mis dans mon lit et il y en a eu.
Je sais, j’ai baisé pour un remboursement de prêt donc pour de l’argent, mais dans ma tête, je rendais service à mon couple.
Il m’a tout fait, levrette et une grande partie du kama.

Au réveil, en guise de bonjour, on a recommencé, Ricardo était insatiable, une vraie bête de sexe.
Était-ce mon âge qui l’excitait ou sa queue qui cherchait toujours sa proie suivante pour la laisser défoncée comme moi je l’ai été.
Il a commandé un petit déjeuner copieux que j’ai dévoré.
Baiser ça m’a toujours donné faim, lorsque je me regarde, toujours aussi fine, le nombre de fois ou j’ai baisé, j’aurais dû finir obèse.

Ensuite, il m'a accompagnée rejoindre ma famille.
J’étais avec ma mère, ma sœur aînée qui comme moi aimait les hommes mûrs.
Elle était avec son copain de 40 ans.
Je me suis changée sous le regard noir de ma mère, j’ai bien senti que c’est par dépit que ce bel étalon lui ait échappé, surtout enlevé par sa propre fille.

Il m'a invitée au restaurant et de retour dans sa chambre je me suis empressé de lui faire une fellation.

C’est au bout de cinq jours que Ricardo m'a sodomisée, il a fait ça en douceur.
C’est moi qui l’ai placé sur mon œillet au cours de la nuit.
Il m’en a été reconnaissant, j’étais la première qu’il prenait comme un garçon.
Je l’ai asticoté sur d’éventuels moments avec des hommes, ses réponses étaient évasives, il devait être à voile et à vapeur, en un mot bi.
J’ai joui en me caressant le clito et en me disant, je suis en train de me faire enculer.
J'ai une bite dans le cul.

J’étais prête à tout pour baiser avec mon bel italien.
Pour éviter d’avoir mes règles, au lieu d'arrêter la pilule une semaine, j'ai commencé la plaquette suivante dans la foulée.
Grâce à ça, il a pu me baiser environ trois fois par jour.
J'étais bien avec lui, il m'amenait dans des lieux extra et me faisait merveilleusement bien l'amour.
Hélas, tout à une fin et j’étais déchirée quand nous sommes reparties.

La dernière soirée a été féérique, soirée à Nice, restaurant sur la promenade des Anglais dans un des plus grands palaces de cette ville.
Je pensais que nous allions rentrer à son hôtel à Cannes, mais c’est le casino qui a eu notre visite.
Il fallait être majeur, mais j’ai compris que Ricardo connaissait du monde, car je suis entrée sans le moindre soucis.
J’avais mis un short ras ma chatte avec un débardeur mettant mes seins en valeur surtout que mes seins sans soutien mettaient mes pointes en avant.
J’ai toujours aimé allumer les vieux, là j’étais à la fête, ce qui faisait bander mes fraises.
Mon amant, hélas, bientôt séparé m’a installé à une roulette avec des jetons.
J’ai vite compris le jeu et est-ce le fait que je faisais cocu mon homme parisien, mais j’ai gagné plusieurs fois.
Très vite, j’ai doublé ma mise, mais ce que j’ai le plus aimé c’est de placer les jetons sur la table avant que le croupier dise.

« Rien ne va plus. »

Rien oui, pour les messieurs placés face à moi qui voyais mes seins plus que de façon raisonnable.
Le mot devait se dire qu’ à la roulette une jeune blonde s’exhibait, car quelques vieilles étaient de mon côté alors que ces mâles rêvant de me les prendre à pleines mains étaient tous de l’autre côté.
Je jouais les 3 nombres fétiches pour moi et tous s’empressaient de me suivre.
Le croupier semblait perdu entre payer sans erreur et lui aussi regarder mes seins.
Un moment, le chef de salle est venu avec une vieille croupière, mais là encore, non seulement elle matait, mais je suis sûr que sous sa jupe stricte, son chignon de grand-mère et ses grosses lunettes, elle mouillait.
Tout jeu a une fin et l’heure avançait, c’est moi qui ai sifflé la fin de la partie, je m’étais assez amusée.
J’ai pris tous mes jetons pour les pousser sur le rouge.
Quitte ou double, « quitte, » la croupière soulagée m’a vu me lever avec Ricardo qui riait du bon tour que j’avais fait.
Une jeune femme quittait la roulette, une peinture de mode des années 30 prenait ma place, la table s’est vidée.
Arrivé dans sa voiture, je devais faire pour la première fois l’amour sur le siège avant.
L’avait-il fait exprès, elle était garée loin des yeux indiscrets et après l’avoir embrassé, je lui ai fait une fellation.
À ce jour, je baise tout autant chaque fois qu’une belle et bonne bite se présente, mais m’empaler comme je l’ai fait ce soir-là, ça serait prendre des risques pour mon vieux corps.
Avant que nous nous séparions pour que je retrouve ma mère, ma sœur, son copain, je me suis fait mettre une dernière fois pour notre plus grand plaisir.

Je pensais qu’avec mon bel Italien s’était terminé, mais un jour nous avons reçu un coup de téléphone sur notre ligne fixe.
Les portables étaient loin d’avoir été inventé, mais il m’annonçait qu’il venait une semaine pour le jour de l’An.
Hélas pour lui, j’avais prévu une soirée avec Claudio, mais j’ai accepté de le retrouver dans le Palace où il était descendu le lendemain après-midi.
Je voulais lui offrir un coup d’adieu, ce qui fut fait.
Mais lui voulait que je parte avec lui en Italie.
Si j’avais dit « oui, » ou serais-je aujourd’hui ?
Un hic supplémentaire, j’avais retrouvé la verge de celui que je devais finir par épouser, je savais que j’avais simplement aimé baiser avec lui.
Ce fut la fin des aventures avec Ricardo, mon vieil Italien.
Qu’est-il devenu, je l’ignore, nos relations en sont restées là ?

Voyons, cherchons bien dans ma mémoire, ensuite à qui j’ai appartenu l’instant d’un moment ?
À oui, en Pologne chez un ami de mon père.
Ce sera mes prochaines aventures.